Tuesday, May 22, 2012

Hôtel Villa des Impressionnistes *** - 78 380 Bougival


Sans apparat, ni affèteries

Si notre cœur se « baladera », durant les deux/trois semaines suivant notre arrivée en Ile de France, entre Saint-Germain-en-Laye, « berceau », si je puis dire, de la Monarchie des Bourbons, et Versailles, centre névralgique de son pouvoir durant prés de deux siècles, ce ne sera, certes, pas anodin ! Le Pavillon Henry IV, d'un côté, le Trianon Palace de l'autre, et puis, après quelques pérégrinations plus « conventionnelles » (on va dire les choses comme cela), nous voici rendus à Bougival, à deux pas du Château, et de la « machine » de Marly, en bord de Seine, là où, au XIXe siècle, des Impressionnistes, Monet, Gauguin, Renoir, et Van Gogh, entre autres, s'adonnaient à leur passion. L'endroit, une « villa » typique des Yvelines, tout à la fois demeure familiale, et hôtel-particulier, d'apparence, somme toute, (assez) moderne (années 90) dont les capacités (cinquante chambres, dont quatre suites, et quatre salles de réunion pour les « séminaristes », et les événementiels plus ou moins privés), en feraient, dit-on, un lieu des plus polyvalent. Cet endroit, disais-je, nous aura offert le meilleur de lui-même, sans apparat, ni affèteries ! Un accueil des plus pondérés, « charmant » même, celui de la propre fille de Madame Vernet, et de sa maman par la suite, nous confrontera dans l'idée qu'ici on ne badinera pas avec la convivialité !
 Deux clés à l'ancienne plus tard, l'une pour la 114, et l'autre pour la 116, deux chambres double avec vue sur le patio, en rez-de-chaussée, le « nez » dans la verdure si je puis dire, au style « impénétrable », et à la déco assez « dépareillée » pour ne pas dire, un tantinet hétéroclite. Revêtement mural façon bois d'un côté, ou bouton d'or au tampon de l'autre, moquette un tantinet « kitch », console-bureau, tête de lit, et chevets coquille d'œuf conçus, certainement, sur mesure, cela ne forcera pas obligatoirement la grande admiration malgré un écran L.C.D Samsung, et une clim dernière génération ! Mais, par contre, côté literie, et salle de bains, changement de décor, avec un 2x2 king size, hyper moelleux, et généreux, et un espace bains, comme dirais-je, totalement « décalé ». Comment ne pas être interloqué, d'ailleurs, par ce large meuble sur pieds avec double vasques, et ces grands miroirs « stylisés », le tout en une générosité assez inhabituelle pour un *** ? 
Pour nous, pas de problème, nous qui sommes accoutumés au « déracinement » quotidien, et, donc, aux changements constants de décor ! Mais, ceci dit, l'ensemble ne manquera, finalement, pas d'un certain charme empli, il est vrai, d'une « expression » très personnelle. La note faveur du lieu, ce sera pour le petit déj', cher à Madame Vernet mère, un modèle du genre, très estimable et estimé, d'un genre pas si répandu lorsque l'on se réfèrera à nombre de ***, ou même ****, surtout du côté des « chaînes ». Panière de viennoiseries, et pains de campagne, confitures au chaudron, miel Bio, jus d'orange (non pressé, dommage !), thés Twining (là,pourrait mieux faire !), et café impeccable, on aura vraiment apprécié (si, si, je vous assure) ! A vous désormais de venir « reproduire » notre parcours, si ce n'est, pourquoi pas, de l'améliorer !
Navette 8 places à disposition, parking couvert gratuit de 25 places, billard, sauna, et massages sur réservation.
Chambre simple 173 € (en semaine), et 100 € (en week-end)
Chambre double 183 € (en semaine), et 137 € (en week-end)
Petit déj' buffet 18 €.

Hôtel Villa des impressionnistes***
15, quai Rennequin Sualem
78 380 Bougival (N 13)
Tél.: 01 30 08 40 00

Note : 13,5/20

Monday, May 21, 2012

Cazaudehore - 78 100 Saint-Germain en Laye


Un acteur crucial

1928, cette date vous dirait-elle quelque chose ? Pas vraiment ! Eh bien, sachez que c'est l'année de création de la Forestière, à l'époque une simple bicoque de planches, une buvette au beau milieu de la forêt de Saint-Germain-en-Laye. Depuis, les trois générations de la famille Cazaudehore auront su faire « frémir de plaisir » nombre de personnalités, et plus encore, de quidam, des anonymes certes, mais représentatifs des vrais « fondements » de la maison. La grille, le parking, et puis l'allée direction le restaurant, l'une des deux maisons de campagne, comme ils disent, et Philippe Cazaudehore de nous accueillir, sourire malicieux aux lèvres, dents de la chance arborées fièrement, et de nous accompagner à notre table, un « modèle » pour trois, en bordure de véranda, face à la terrasse-jardin, un emplacement « stratégique » pour qui souhaiterait avoir l'œil sur (presque) tout ! Vincent Pedrot, le directeur de la restauration, un « fidèle » de la famille, préconisera, et nous de choisir. 
Une brunoise de légumes, tartare de saumon sur mini ardoise, titillera, d'entrée de jeu, notre sensibilité gustative. N'était-ce pas là son rôle, d'ailleurs ? Les (grosses) asperges blanches des Landes (parmi les meilleures), copeaux de Parmesan, et huile d'olive, tout en naturel, le foie gras maison, gelée de Pacherenc, et chutney d'abricot, perclus d'onctuosité, ou les œufs battus en piperade à la Basquaise, tout en excellence, oignons frits, poivrons et panchetta, débusqueront nos sens pour mieux les ensorceler ! Huang (pourtant débutante, et ne parlant pas un mot de Français) et Lauranne, « nos » deux charmantes serveuses, effectueront, côté service, un quasi sans fautes. Les ris de veau poêlés, pommes bouchons, navets braisés au verjus, émulsion au navet à l'huile de truffe, le filet de bœuf de Salers au sautoir, cromesquis de pommes de terre au foie gras, et petits pois, légumes printaniers, et le thon en escalope, poêlé, cassolette d'oignons glacés au gingembre, prouveront, s'il en était besoin, que ce chef là détiendrait de l'ingéniosité à revendre, et un talent ravageur. Subtile suggestion de Vincent Pedrot, le fromage de Brebis des Pyrénées, sa confiture de cerises noires de chez Francis Niot, livré la veille, une initiative lumineuse. Quant à « sa » sélection de la « Ferme Sainte-Suzanne », elle frisera la belle excellence.
Côté sommellerie, Grégoire Lavoisier, le préposé aux nectars des Dieux, se montrera avisé et de nous recommander un Bordeaux Lynch-Bages- 2007 fort judicieusement estimé.
Côté douceurs, le macaron à la rose, griottes, et crème légère au nougat, le fondant au chocolat noir, truffé, crème brûlée vanille, ses macarons, le (vrai) baba au Rhum, sa crème chantilly, et le Paris-Brest aux fruits rouges, crème pistache, mettront en exergue un chef pâtissier astucieux, industrieux même, Gaston Houssais, un « acteur » crucial dans le « script » culinaire rédigé par un chef exécutif, Grégory Balland, totalement investi dans son art.
Menu découverte (pour l'ensemble des convives) 95 €/pers. Vin compris. Menu Forestière
71 €/pers. Vin compris. Printemps menu dégustation « le petit pois » (7 plats) 95 €/pers, avec 4 verres de vins. Entrées de 14,50 à 29 €. La mer et les crustacés de 29 à 45 €. Viandes de 33 à 38 €. Suggestions du jour de 12 à 110 €. Fromages de 7 à 14,50 €. Desserts 12,20 €.
Fermé le lundi sauf si celui-ci est un jour férié, et le dimanche pour le dîner du 1er novembre au
30 Mars. Et ouvert pour les journées d'études et de réceptions.

Cazaudehore et La Forestière
Hôtel ***** – Restaurant
Relais & Châteaux
1, avenue du Président Kennedy
78 100 Saint-Germain-en-Laye
Tél.: 01 30 61 64 64

Note : 15 /20

Pascal Donquino (Men’s Fashion Week Singapore 2012). Japanese designer Akira Takeuchi























Japanese designer Akira Takeuchi


THE MEN’S CLASSIC LOOKBOOK; SPRING 2012


Left: Richard JamesCrockett & Jones shoes; Right: Canali trousers; Barneys New York shirt;Petronius tie (in stores only); Drakes London pocket square; Harris shoes


Left: Barneys New York sport coat and shirt; Incotex trousers; Roda pocket square; Barneys New York boots; Boralino fedora (in stores only); Right: KitonCrockett & Jones boots


Left: BrioniBettanin & Venturi shoes; Right: Battistoni sport coat, shirt, tie and shoes;Incotex trousers; Drakes London pocket square



Left: JosephRoda scarf; Crockett & Jones boots; Right: Aspesi (in stores only); Doucal’s loafers

Left: Barena Venezia; Right: Ian Velardi



Shop below, visit a Barneys New York store,




E. Tautz men Autunno Inverno 2012-13 - London



via : vogue 














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